Cette découverte véritablement étonnante, découle d'une étude réalisée par le centre épigénétique du CHU de Genève.
Nos traumatismes s'inscrivent jusque dans nos cellules.
Nous savions déjà que les traumatismes, petits ou grands, pouvaient laisser des séquelles psychiques chez les victimes. Et, aujourd'hui la démonstration est faite que l'impacte se traduit jusque dans notre génétique, notre ADN, nos cellules. Les chercheurs du centre épigénétique de Genève sont même parvenus à le mesurer.
La Somatopathie intervient déjà depuis plus de 20 ans sur ce que l'on nomme le transgénérationnel. Dans mes séances avec les enfants et (les adultes) sur les réflexes archaïques, j'aborde ce côté transgénérationnel qui impacte celui-ci en raison de cette information qui n'est pas de son propre vécu. Comment faire le lien entre une pathologie et la violence subie par notre arrière grand-mère, (voir la vidéo) si personne n'est en capacité d'accueillir l'information engrammée dans nos tissus ? Le stress généré par cette information "épigénétique", cette cicatrice informationnelle qui entrave la libre circulation de notre énergie, pourra avoir pour conséquence de stopper l'enfant dans la maturation d'un ou plusieurs réflexes archaïques, son inconscient considérant qu'il est potentiellement en danger.
Il est donc nécessaire dans l'accompagnement de la maturation de ces réflexes archaïques encore présents et actifs, d'aider le corps à se libérer ces "informations cicatricielles", en lui permettant d'établir une interface entre ces mémoires cicatricielles, sa biologie, son ostéopathie et son psychisme. C'est de cette manière que l'enfant (ou l'adulte) pourra s'ouvrir à un nouvel équilibre, bénéfique pour lui.