Que faire car mon bébé n'arrête pas de pleurer et s'endort uniquement dans mes bras ?

"Mon bébé ne fait que pleurer...", "Mon bébé pleure en même temps qu'il tête...", Mon bébé s'endort uniquement dans mes bras et se réveille dès que je le pose dans son lit...", "Mon bébé ne dort pas beaucoup et pleure souvent..." Mon bébé ne dort pas la journée..." "Mon bébé ne dort pas bien la nuit...", "Mon bébé n'accepte de s'endormir que lorsque je lui donne le sein..."

Ces moments, toutes les mamans de la terre ou presque, car il faut bien des exceptions, y sont confrontées. Ces bébés, après avoir passé neuf mois bien calés au chaud dans notre ventre, mettent souvent nos nerfs à rude épreuve. Quelle maman ou quel papa n'a pas craqué à un moment donné devant les pleures de son tout petit ! On nous aurait menti ? Le nourrisson ne fait pas que manger et dormir ! On pourrait plutôt dire qu'il ne fait que pleurer et manger ! Heureusement que leur tête d'ange, leur expression de bien-être profond nous font totalement oublier les heures de lutes pour arriver à les calmer et les endormir.

Durant les premières semaines de vie, le tout petit reste sur son rythme de vie intra-utérine durant laquelle il ne pouvait faire aucune distinction entre le jour et la nuit. De zéro à 3 mois, ses journées sont essentiellement rythmées par le sommeil et la faim, les besoins d'être câliné, avec quelques variantes comme le bain tous les deux jours. Et lorsqu'il a faim, bébé le fait savoir immédiatement par des pleures pouvant aller jusqu'aux larmes, et c'est normal. Son cortex n'étant absolument pas mature, le tout petit ne peux prendre aucun recul. Pour lui, avoir faim le met immédiatement en état de survie : "si je ne mange pas je meurs !!!" d'où ses cris d'alarmes, stressant pour les parents, et qui nous mettent dans tous nos états. Mais les pleurs de l'enfant sont son seul moyen d'expression pour faire comprendre à ceux qui prennent soin de lui que quelque chose ne va pas.

Cependant, même une fois dorloté et bien nourri, le bébé continue de pleurer immédiatement après la prise du biberon ou de l'allaitement. Il arrive parfois qu'il pousse des hurlements entre chaque déglutition, donnant ce sentiment désarmant de pleurer en tétant. En fait, il a faim et il est gêné ou a mal en même temps qu'il tête. On peut aussi remarquer chez les enfants nourris au sein, qu'ils n'arrivent pas à prendre correctement le mamelon, le lâchent, secouent la tête, donnant l'impression qu'ils ne parviennent pas à retrouver ce sein maternel. Puis ils se remettent à téter quelques instants, sont à nouveau gênés et commencent  à pleurer. On se dit qu'ils ne mangent pas beaucoup à chaque tétée et celles-ci paraissent interminables. Plusieurs facteurs sont responsables de ce type de comportements du tout petit. L'enfant au sein peut avoir du mal à prendre celui-ci et à faire son mouvement de sucions correctement (voir l'article sur l’allaitement). Il arrive qu'il fasse beaucoup de bruit lors de la déglutition (ronflements, claquements, petits cris de fond de gorge...). Lors d'une tétée bien orchestrée, l'enfant prend le sein à pleine bouche, ses lèvres sont ourlées autour du sein de la mère et il ne fait pas de bruit lors de la déglutition. Tout ceci est valable pour l'allaitement ou la prise de biberon. Si ce n'est pas le cas, l'ostéopathie crânienne du nourrisson et la somatopathie peuvent naturellement aider votre enfant et permettre à la maman de retrouver un allaitement normal. Enfin, les douleurs digestives, aussi appelées coliques du nourrisson, ou les RGO (Reflux gastro œsophagien), entraînent des pleures inconsolables chez le tout petit.

Que faire pour aider votre enfant ?

Les réponses sont multiples. Vous devez commencer par consulter votre médecin ou pédiatre. Celui-ci vous orientera vers un traitement ou une technique alternative comme c'est le cas avec l'ostéopathie, la somatopathie.

Mais alors que faire lorsque votre bébé n'arrête pas de pleurer ?

Les réponses sont multiples. Vous pouvez commencer à en parler avec votre médecin ou pédiatre. Celui-ci vous orientera vers un traitement ou une technique alternative comme c'est le cas avec l'ostéopathie douce comme par exemple la somatopathie. La somatopathie, à la différence de l'ostéopathie, en même temps qu'elle va recréer l'équilibre, va mettre en lien le dérèglement ostéopathique et l'émotionnel vécu par l'enfant et favoriser ainsi le retour à l'équilibre et au bien-être du tout petit.